19 octobre 2021
« Ma mère Rachel et ses 40 voisins sont partie prenante d’une communauté hétéroclite et tentent de vivre la coopération malgré les défis de la gestion collective. Tous ces gens forment un bouillon interculturel et intergénérationnel, une microsociété qui appelle à un meilleur vivre-ensemble. » C’est en ces mots que la cinéaste Ève Lamont fait le synopsis de son plus récent opus, filmé sur une période de 2 ans.
La coop de ma mère met en lumière les résident-e-s de la coopérative d’habitation Saint-Louis de Hull. Les membres sont partie prenante d’une communauté hétéroclite qui s’efforce de vivre les valeurs coopératives malgré les défis de la gestion collective. Avec une aînée comme personnage phare, la coop de ma mère appelle à un « vivre ensemble » inspirant, à contre-courant du chacun pour soi.
La bande-annonce est disponible ici : https://vimeo.com/620279629
À Montréal, le film est présenté à la Cinémathèque québécoise jusqu’au 27 octobre
À Gatineau, le 19 octobre à 20h, à la salle communautaire de la coopérative d’habitation Les Artistes du Ruisseau (14 rue Morin). Précédé d’une conférence sur l’Histoire du mouvement coopératif par Raphaël Déry 18h.
À Québec, le dimanche 14 novembre à 15h00, au Cinéma Cartier.
À Rimouski, le mardi 30 novembre à 19h30 au cinéma Paraloeil (Coop Paradis, 274 rue Michaud, Rimouski)
La cinéaste québécoise possède une riche filmographie, avec un accent mis sur les questions de logement, notamment avec Le Chantier des possibles (2018) et Squat ! (2002). Les personnes qui la suivent depuis longtemps auront eu la chance de voir un de ses premiers documentaires : Des squattereuses (1988).