L’habitation est un déterminant de la santé globale. Il est important de défendre le droit des personnes vivant avec un handicap, une déficience intellectuelle, un trouble du spectre de l’autisme et les personnes traumatisées craniocérébrales d’accéder à un logement répondant à leurs besoins spécifiques.
Ces personnes éprouvent de la difficulté à se loger adéquatement. Que ce soit en raison de la rareté des logements adaptés ou subventionnés, des sommes à débourser pour l’adaptation des logements, de la discrimination ou de la méconnaissance des habitations accessibles sur leur territoire, cette situation touche un nombre grandissant d’individus et affecte leur quotidien.
Une hausse des diagnostics, combinée à la rareté des ressources et des espaces adaptés à leur réalité, force souvent ces personnes à demeurer chez de la famille ou à évoluer en milieu institutionnel. Les ressources intermédiaires et de type familial (RI-RTF) ne sont pas toujours appropriées pour répondre aux besoins de cette frange de la population, qui a pourtant le droit d’aspirer à l’autonomie résidentielle.
Heureusement, un travail de conscientisation s’opère. À preuve, les principes d’accessibilité universelle et de neuroinclusivité en matière d’habitation sont des idéaux soulevés par plusieurs acteurs sociaux et les municipalités tentent de trouver des solutions pour pallier les problèmes identifiés dans leur milieu.
À noter que le contenu des activités portera en grande partie sur le logement communautaire, et pour cette année, sur la situation des personnes en situation DI et/ou autistes.
Nous vous invitons à faire preuve d’indulgence quant au processus d’inscription. Il s’agit d’une première expérience avec la plateforme pour un événement en présentiel.
Merci par avance de votre compréhension.