Ce qui m’a le plus frappée lors de l’événement – dans le sens douloureux du terme – est le nombre de familles sans logis sur le territoire.
Œuvrant dans le milieu de l’habitation communautaire depuis quelques années, je suis consciente que le phénomène de l’itinérance est de plus en plus répandu. Force est de constater que le ministère de la Santé et des Services sociaux, les municipalités et les organismes communautaires se renvoient souvent la balle.